Chaire Centrale Nantes et Siemens Digital Industries Software sur la simulation numérique appliquée à la mécanique des fluides
Dans la continuité de la collaboration historique avec Nextflow Software, Centrale Nantes et Siemens Digital Industries Software renforcent leur coopération dans le domaine de la simulation numérique appliquée à la mécanique des fluides en lançant conjointement une nouvelle chaire de recherche fin 2022.
L'accord prévoit un financement pluriannuel de plusieurs millions d’euros, avec l’objectif de maintenir les deux organisations à la pointe de la technologie de la simulation numérique par méthode SPH.
Laura Trappolini, David Le Touzé,, Jean-Claude Ercolanelli, Jean-Baptiste Avrillier, Matthieu De Leffe, Guillaume Oger, et Vincent Perrier, lors de la signature de la chaire
Avec plus de 30 ans de travaux sur cette thématique, le Laboratoire de Recherche en Hydrodynamique, Énergétique et Environnement Atmosphérique (LHEEA) de Centrale Nantes et du CNRS est aujourd’hui reconnu comme leader international dans le domaine de la simulation numérique par méthode SPH (Smoothed Particle Hydrodynamics), une méthode de calcul utilisée pour simuler les écoulements de fluides, en particulier ceux provoquant des impacts ou rencontrant des pièces en mouvement rapide. Elle est particulièrement utile pour étudier la lubrification des boîtes de vitesses ou le refroidissement des moteurs électriques, par exemple, ou encore l’hydroplanage des pneus, la gestion des écoulements d’eau sur les véhicules, etc. L’exploitation de cette méthode a permis aux chercheurs de Centrale Nantes, en collaboration avec ceux du CNR-INM de Rome, de co-développer avec Nextflow Software «SPH Flow », un logiciel qui regroupe les meilleures applications de simulation prédictive et de conception avec cette méthode, acquis en 2021 par Siemens.
Avec l’objectif de répondre aux besoins des départements d’ingénierie dans la création de nouveaux produits innovants, trois champs d’application prioritaires ont été identifiés :
L'accord prévoit un financement pluriannuel de plusieurs millions d’euros, avec l’objectif de maintenir les deux organisations à la pointe de la technologie de la simulation numérique par méthode SPH.
Laura Trappolini, David Le Touzé,, Jean-Claude Ercolanelli, Jean-Baptiste Avrillier, Matthieu De Leffe, Guillaume Oger, et Vincent Perrier, lors de la signature de la chaire
Une expertise dans la simulation numérique reconnue à l’international
Afin d’optimiser leurs processus de conception, d’ingénierie et de fabrication, les entreprises de toute taille recourent à la simulation numérique afin de vérifier l’intérêt et anticiper les performances de ces produits sur le court et long termes.Avec plus de 30 ans de travaux sur cette thématique, le Laboratoire de Recherche en Hydrodynamique, Énergétique et Environnement Atmosphérique (LHEEA) de Centrale Nantes et du CNRS est aujourd’hui reconnu comme leader international dans le domaine de la simulation numérique par méthode SPH (Smoothed Particle Hydrodynamics), une méthode de calcul utilisée pour simuler les écoulements de fluides, en particulier ceux provoquant des impacts ou rencontrant des pièces en mouvement rapide. Elle est particulièrement utile pour étudier la lubrification des boîtes de vitesses ou le refroidissement des moteurs électriques, par exemple, ou encore l’hydroplanage des pneus, la gestion des écoulements d’eau sur les véhicules, etc. L’exploitation de cette méthode a permis aux chercheurs de Centrale Nantes, en collaboration avec ceux du CNR-INM de Rome, de co-développer avec Nextflow Software «SPH Flow », un logiciel qui regroupe les meilleures applications de simulation prédictive et de conception avec cette méthode, acquis en 2021 par Siemens.
Une chaire de recherche pour accroitre les capacités de simulation numérique d’écoulements des fluides
Organisé autour de 5 modules, le programme scientifique et technique de cette nouvelle chaire de recherche a pour but d’augmenter la précision, la vitesse ainsi que la robustesse du logiciel « Simcenter SPH Flow » de Siemens. L’un des modules prévoit l’exploitation de l’intelligence artificielle pour remplacer des équations physiques difficiles à résoudre et trouver des solutions à des problèmes complexes ciblés.Avec l’objectif de répondre aux besoins des départements d’ingénierie dans la création de nouveaux produits innovants, trois champs d’application prioritaires ont été identifiés :
- les écoulements autour des véhicules,
- la lubrification des transmissions
- le refroidissement des systèmes électriques et électroniques.